Encens Spirale Bois d’Agar – 4 h de Diffusion Continue | BoutiqueZen
Encens de Chine et d'Asie
Description des spirales à encens :
Nos spirales d’encens, également appelées « coils », sont roulées à la main à partir de poudre pure de bois d’Agar (Aquilaria) et de résines 100 % naturelles. Conçues pour brûler lentement pendant 4 heures sans interruption, elles diffusent une fumée fine et enveloppante, idéale pour purifier l’atmosphère et favoriser la méditation.
Chaque coil se présente sous forme de spirale compacte, facile à allumer et à disposer sur un porte‑encens adapté. Sa combustion régulière évite les projections de cendres et garantit une diffusion équilibrée du parfum noble et chaud du bois d’Agar.
Présentées dans un écrin cylindrique recyclable, nos spirales sont parfaites pour accompagner vos séances de yoga, de zazen, vos moments de relaxation ou vos rituels de purification. Offrez-vous un voyage olfactif d’exception, infusé de sérénité et de bien-être.
Histoire de l’encens en Chine:
L’encens est utilisé depuis l’Antiquité en Chine, mais également en Europe, en Afrique, en Amérique, en Inde et dans le reste de l’Asie. À cette époque, et pendant des millénaires, l’encens était principalement utilisé pour des rites religieux et spirituels. Les grandes religions antiques utilisaient une grande quantité d’encens, par conséquent son commerce est rapidement devenu une activité très lucrative. À cette époque, l’Inde et les pays du sud de la péninsule arabique étaient les plus grandes zones de production au monde. De nombreuses « routes de l’encens » ont été créées afin de desservir l’Europe et le reste de l’Asie, par voie terrestre principalement.
La composition de l’encens était différente d’un continent à un autre, mais la résine la plus utilisée est produite à partir d’arbres de genre Boswellia de la famille des Burséracées. Cet arbre est originaire d’Oman, mais il est également cultivé en Inde, au Yémen et en Somalie. C’est l’arbre mâle qui produit la résine destinée à fabriquer de l’encens, mais il est nécessaire qu’il atteigne l’âge de 10 ans au minimum pour obtenir de la résine de bonne qualité. Pour récolter la résine, l’écorce de cet arbre est incisée en enlevant un lambeau long et étroit. Puis, cette zone est raclée pour récolter les concrétions de résine qui tombent dans un récipient. Au contact de l’air, la résine durcit et elle est récoltée deux ou trois semaines après.
Durant l’Antiquité, en Chine, l’encens était considéré comme étant plus précieux que l’or. C’était une matière prestigieuse, au même titre que le jade. En Égypte, l’étymologie du mot encens renvoie au divin, comme en Grèce ou chez les Romains. L’encens est également très utilisé chez les chrétiens, car il fait partie des cadeaux que les mages ont apportés au Christ. La fumée que dégage la combustion de l’encens symbolise dans cette religion les prières qui montent vers le ciel et vers Dieu. Lors des cérémonies chrétiennes, on brûle de l’encens dans des encensoirs qu’on balance afin de diffuser son parfum dans la totalité du bâtiment religieux.
L’encens était très présent dans les rites des religions païennes, et il a été rapidement repris par les grandes religions monothéistes pour leurs propres rites. D’ailleurs, la composition de l’encens figure dans la Bible, car Dieu aurait remis la « recette » de l’encens à Moïse. Les chamans d’Asie et d’Amérique ont rapidement découvert que l’encens apportait l’apaisement intérieur et la sérénité, les fondements du bien-être selon eux. Ils faisaient également respirer de l’encens à des malades afin de soigner certaines maladies. À cet effet, ils disposaient la résine sur du charbon ardent ou sur une pierre chauffée jusqu’à l’incandescence.
De nos jours, l’encens est considéré comme un allié objectif du bien-être. En effet, son efficacité est établie par la médecine occidentale et orientale concernant certains maux comme la maladie de Crohn, la polyarthrite rhumatoïde ou l’asthme. Il est toujours utilisé lors des rites religieux sur toute la planète, et de nombreux particuliers en consomment à titre privé, pour purifier l’air de leur maison notamment. Les vertus de l’encens sont unanimement reconnues à travers le monde, dans le domaine de la parfumerie, de la santé et du bien-être.
Le bois de Santal:
Depuis de nombreux siècles, le bois de Santal fait partie des ingrédients de base de l’encens en Asie et sur d’autres continents. En effet, cet arbre pousse principalement en Inde, en Australie, au Népal, à Hawaï et en Nouvelle-Calédonie. Le principal avantage du bois de Santal, lorsqu’il entre dans la composition de l’encens, est qu’il est un excellent fixateur pour capturer les arômes des autres huiles essentielles de la composition. De plus, son odeur est boisée et douce, ce qui la rend très agréable. Le bois de Santal est doté de propriétés calmantes, apaisantes, antiseptiques et désinfectantes.
Par conséquent, le bois de Santal est très utilisé dans la composition de l’encens en grain ou en bâtonnet. Il permet de purifier l’air à l’intérieur des maisons, tout en laissant une odeur délicate et agréable. Il est établi que le bois de Santal agit positivement sur les ondes alpha du cerveau, celles qui permettent de méditer sereinement. Il se décline également sous forme d’huile parfumée qui aide à trouver le calme, à combattre l’anxiété, à combattre l’acné, à revitaliser la peau et à rétablir la circulation sanguine. Le bois de Santal est utilisé depuis de nombreux siècles par les Birmans, les Égyptiens, les Chinois et les Européens.
Le bois d’Agar :
Originaire des forêts tropicales d’Asie du Sud-Est, le bois d’Agar, ou Aquilaria, est la résine sécrétée par un arbre en réaction à une bactérie ou un champignon. Ce bois précieux est reconnu pour son parfum complexe, mêlant des notes sucrées, boisées et épicées, souvent comparé à un vin vieux ou à la myrrhe. Sa rareté et son long processus de formation en font l’un des encens les plus nobles et recherchés.
Dans la composition de l’encens, le bois d’Agar agit comme un fixateur de grande qualité, prolongeant la diffusion des arômes et enrichissant le bouquet olfactif. Il est prisé pour ses vertus apaisantes, clarifiantes et méditatives. Les praticiens de la tradition bouddhiste et taoïste l’utilisent pour favoriser la concentration, purifier l’espace sacré et accompagner les sessions de prière ou de zazen.
Au-delà de son usage en grains ou en bâtonnets, le bois d’Agar se retrouve sous forme de spirales, de copeaux ou d’absolues pour parfumer délicatement la maison, les cabinets de massage et les cabinets thérapeutiques. Ses vertus antiseptiques, anti-inflammatoires et anti-stress sont reconnues par la médecine traditionnelle asiatique, qui l’emploie également en infusion ou en macération pour soulager les maux de tête et améliorer la digestion.
Conseil d’utilisation : déposez quelques grains ou copeaux de bois d’Agar sur un charbon ardent ou dans un porte-encens adapté. Laissez la résine se consumer lentement pour libérer jusqu’à plusieurs heures d’un parfum riche et enveloppant, idéal pour transformer votre intérieur en un sanctuaire de calme et de sérénité.